Je me spécialise : ROCK
2 heures de cours collectif hebdomadaires mêlant théorie et pratique avec Fred Fages
Perfectionnez votre pratique musicale aux côtés d'autres musiciens
amateurs ayant la même volonté que vous.
Le tout autour de l'esthétique rock.
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A qui s’adressent les ateliers Rock ?
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A des musiciens qui ont au moins trois années de pratique instrumentale régulière.
Doit-on avoir suivi des cours d’instrument ?
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Non. On peut participer à l’atelier qu’on ai pris des cours ou qu’on n’en ai pas pris.
Il suffit de pratiquer l’instrument régulièrement depuis au moins trois années.
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Qu’est-ce qu’on apprend dans ces ateliers ?
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Tout d’abord il s’agit de se mettre en situation de pratique en temps réel.
La répétition (le jeu en groupe) n’est pas un processus facile.
Il s’agit tout d’abord de gérer l’espace, la place des amplificateurs, de la sono, de la batterie.
Ensuite il s’agit d’acquérir une maîtrise du son, une discipline rythmique, de créer un son de groupe.
Puis si on veut aller plus loin on peut aussi travailler la présence sur scène.
Toutes ces choses ne viennent pas naturellement, elles doivent être expérimentées.
L’intervenant qui encadre l’atelier est un musicien qui joue activement et s'engage dans la sceÌ€ne musicale professionnelle actuelle.
Il vous conseille et vous aide à réfléchir à ce que vous faîtes avant/pendant/après les ateliers.
Il a déjà parcouru les routes que vous découvrez en tant que groupe et partage avec vous ses ressources, ses connaissances et son expérience.
Ce transfert de connaissances crée des passerelles entre désir, plaisir, travail et apprentissage.
Durant ces ateliers qui se veulent des moments de partage d’expériences et de connaissances,
l’intervenant vous livre un ensemble de clés (éléments théoriques, conseils techniques…) pour jouer en groupe.
Par son observation il analyse les difficultés auxquelles le groupe est confronté et
suggère des façons créatives de prendre une initiative ou de résoudre un problème.
L’expérience de l’intervenant est un accélérateur d’apprentissage important !
Le but de cet atelier est de rendre le groupe le plus cohérent musicalement.
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Le rock, c'est quoi ?
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Ce style musical se différencie de ceux qui l'ont précédés par la présence de guitares notamment électriques, mais ce qui fait le rock c'est son histoire.
Apparaissant dans les année 1950 avec Elvis et bien d'autres, cette esthétique s'est construite en tant que contre culture et le reste encore aujourd'hui, Le rock est par essence insatiablement rebelle !
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"D’autres insisteront sur son histoire : d’abord le rock’n’roll jouisseur des années 1950 (Chuck Berry, Elvis Presley), puis la rencontre avec la pop (les Beatles) et le folk contestataire (Bob Dylan), puis l’inflexion psychédélique (Pink Floyd) et la frénésie du hard rock (Led Zeppelin, Deep Purple), suivies du glam rock (David Bowie, Queen), l’épisode du punk, de la new wave (The Cure), le tout ponctué par les sonorités rugueuses du heavy metal (Iron Maiden), pour finir sur l’influence techno produisant l’electro pop (Depeche Mode) et autres spécialités d’aujourd’hui.
Tout ce buissonnement, dont beaucoup de branches continuent de pousser, c’est l’univers musical du rock.
Si divers qu’à vrai dire, on ne sait pas trop où il s’arrête ?
: Céline Dion serait-elle une chanteuse de rock?
C’est pourquoi d’autres commentateurs diront que le rock est un symptôme, celui par exemple de l’éternelle révolte d’une génération contre la précédente.
Ainsi lorsque vers 1976 déferle le mouvement punk (Clash, Sex Pistols), c’est à la fois en réaction contre la professionnalisation de la musique et les conséquences sociales du thatchérisme.
Les paroles sont rageuses, la musique primaire, les tenues trash et sexuées s’attaquent à l’héritage des années baba cool.
En ce sens, le rock ne serait rien d’autre que la musique des jeunes révoltés contre celle des vieux installés.
Bon, mais il suffit de regarder la scène des années 2000 et le public des concerts de rap pour en douter. Ou alors, le rap, c’est le rock d’aujourd’hui ?"
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("Qu'est-ce que le rock ?", de Nicolas Journet,
Dans Les Grands Dossiers des Sciences Humaines 2012/3 (N° 26), page 31)